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roman polanski affaire

roman polanski affaire Six crimes, dont des rapports sexuels illégaux avec un mineur, un viol par usage de drogues, la perversion, la sodomie, un acte obscène et lascif sur un enfant de moins de 14 ans et la fourniture d’une substance contrôlée à un mineur, ont été déposés contre le réalisateur Roman Polanski, âgé de 43 ans, à Los Angeles le 10 mars 1977. Samantha Gailey (maintenant Geimer) avait 13 ans à l’époque. Polanski a plaidé non coupable lors de sa mise en accusation, mais a ensuite accepté un accord de plaidoyer qui a abandonné cinq accusations moins graves en échange de son plaidoyer de culpabilité pour contact sexuel illégal avec un enfant.
Le juge a exigé que Polanski subisse une évaluation de sa santé mentale, puis il a été mis en probation. Polanski s’est enfui à Londres puis en France en février 1978, quelques heures avant sa condamnation officielle, après avoir découvert qu’il risquait la prison et éventuellement l’expulsion. Depuis lors, Polanski a passé la majorité de son temps en France et évite de voyager dans des pays qui l’extraderaient vers les États-Unis.
Plusieurs allégations d’agression sexuelle et de viol ont été portées contre Oman Polanski, âgé de 89 ans.


Alors que le Festival de Cannes battait son plein en mai 2010, l’actrice britannique Charlotte Lewis a accusé le réalisateur de l’avoir « abusée sexuellement » lors d’un casting qu’il avait organisé chez lui en 1983, alors qu’elle avait 16 ans. Dans les années 2020, le cinéaste qui l’a qualifié de « menteur » dans Paris Match fait face à des accusations de diffamation.
Mercredi, nous avons appris que deux ans plus tard, fin août, le tribunal correctionnel de Paris avait ordonné un procès en diffamation contre Roman Polanski. Il n’y a pas de plan ferme quant au moment où cela se produira.
En 1977, lors d’une séance photo au manoir hollywoodien de Jack Nicholson, Samantha Gailey, alors âgée de 13 ans, aurait été droguée et violée par Roman Polanski, qui avait 43 ans au moment de son arrestation le 11 mars.
Dans son autobiographie, il admet une relation sexuelle mais pas le viol.
Samantha, maintenant la femme de Geimer, affirme dans un livre qu’elle a été violée par Roman Polanski alors qu’il la photographiait.
Elle a déclaré au grand jury qu’il l’avait droguée avant qu’ils aient des relations sexuelles. Pour paraphraser, « Il ne voulait pas me faire de mal (…) mais il ne s’est pas rendu compte que j’étais trop jeune. Il n’a pas reconnu ma terreur.
Le 24 mars, il a été inculpé, principalement pour viol, et le même jour, il a plaidé non coupable.
En août 1977, il a changé de tactique et a plaidé coupable de détournement de fonds d’un mineur afin d’éviter un procès public. Le juge rejette les accusations de viol et de possession de drogue en échange du plaidoyer. La famille décide de conclure un contrat juridiquement contraignant.
Roman Polanski a été condamné à trois mois de prison, mais il a été libéré après seulement 42 jours pour son comportement exceptionnel.
Cependant, le juge a réexaminé la peine la veille de l’audience pour approuver l’arrangement. Lorsque Roman Polanski a appris qu’il pouvait être condamné à mort, il est immédiatement monté à bord d’un avion pour Paris, où il est arrivé le 31 janvier.
Un mandat d’arrêt mondial a été émis par les autorités américaines.
Samantha Geimer, à qui le réalisateur a écrit une lettre d’excuses et payé 225 000 dollars pour régler la plainte civile, insiste pour que les accusations soient rejetées à plusieurs reprises tout au long du film.
Les autorités américaines s’efforcent d’appréhender le réalisateur alors qu’il se trouve à l’étranger. Les pays de sa double nationalité, la France et la Pologne, refusent tous deux de l’expulser.
Il a été placé en garde à vue à Zurich le 26 septembre 2009. Après avoir été emprisonné pendant deux mois, il a été condamné à passer les huit mois suivants dans son chalet de Gstaad en résidence surveillée. Cette demande d’extradition a été rejetée par la Suisse en juillet 2010.
Un juge de Los Angeles a rejeté la requête de l’accusé et de sa victime visant à classer l’affaire en août 2017.
Vendredi dernier, le 9 novembre, une Française nommée Valentine Monnier a affirmé qu’en 1975, alors qu’elle avait 18 ans, elle avait été violée par le réalisateur Roman Polanski en Suisse. Elle publie ses accusations contre lui dans Le Parisien juste avant la première du nouveau film du réalisateur, « J’accuse », sur le scandale Dreyfus.
Même si elle aurait dû, prescrire, elle n’a pas signalé ces événements. L’avocat du cinéaste a par la suite vérifié que son client « niait fermement toute accusation de viol ».

En outre accusé
En août 2017, une fille nommée « Robin » l’a accusé de l’avoir agressée sexuellement alors qu’elle avait 16 ans. Les prétendus événements de 1973 ne peuvent être poursuivis plus avant.

Renate Langer, une ancienne actrice, a intenté une action en justice pour viol en septembre 2017, alléguant qu’elle avait été agressée à l’âge de 15 ans à Gstaad en 1972. Le système judiciaire suisse a estimé que ces accusations étaient prescrites.
De son côté, l’artiste américaine Marianne Barnard accuse le réalisateur de l’avoir agressée alors qu’elle avait 10 ans en 1975. Cette allégation a été révélée en octobre 2017.
En 2017, un avocat de Roman Polanski a déclaré que les allégations faites par toutes ces femmes contre lui étaient fausses.


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