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Affaire Jean Pierre Mura

Affaire Jean Pierre Mura; L’affaire Jean-Pierre Mura est une affaire pénale française qui était auparavant connue sous le nom d’affaire Christelle Maillery avant que l’auteur de ce crime ne soit condamné. En l’occurrence, Christelle Maillery, alors âgée de 16 ans, a été tuée d’une trentaine de coups de couteau au Creusot le 18 décembre 1986 par Jean-Pierre Mura. Le nom de cette affaire a été changé en affaire Jean-Pierre Mura après la condamnation de l’auteur de ce crime.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Jean-Pierre_Mura

Affaire Jean Pierre Mura
Affaire Jean Pierre Mura

Rappelles toi. Le 20 août 1984, deux cousines nommées Françoise Bruyère et Marie-Agnès Cordonnier, toutes deux âgées de 22 ans à l’époque, appellent leurs familles en Belgique pour les alerter de leur arrivée imminente à Macon. Ils ont l’intention de parcourir la région pendant 15 jours au total en auto-stop. Ils quittent la maison de leur ami à Macon deux jours plus tard. Les jeunes femmes ne seront plus revues après ce moment.

Puis, Sylvie Aubert a disparu deux jours plus tard

Après avoir quitté son emploi de caissière à l’hypermarché Mammouth à Chalon-sur-Saône. Elle a été vue pour la dernière fois le matin du troisième jour. Pour se rendre à la maison qu’elle partage avec ses parents à Saint-Loup-de-Varennes, elle roule en mobylette sur une étroite route de campagne. Sa mère et son père ne la reverront jamais de leur vie. Résultat, le père de famille va découvrir la mobylette à quelques kilomètres de leur résidence, en plus de son sac à main et d’une chaussure, alors qu’il est à la recherche de sa fille.

Christelle Maillery, alors âgée de 16 ans, est retrouvée morte le 18 décembre 1986, dans le local à vélos d’un immeuble du Creusot. La jeune fille avait une trentaine de plaies perforantes sur tout le corps lorsqu’elle a été retrouvée. Le corps de Marthe Buisson, qui vivait dans un foyer pour enfants, a été découvert au bord de l’A6 près de Saint-Albin le 15 août 1987.

Nathalie Maire, une employée qui travaillait dans une sandwicherie de l’aire de repos Saint-Albin de l’autoroute, a été retrouvée morte à son lieu de travail quinze jours plus tard. Entre les années 1986 et 1997, 14 jeunes femmes au total ont disparu dans des circonstances suspectes. Ils ont été qualifiés de “Les disparus de l’A6” par les médias. RMC Story souhaite inclure cette nouvelle dans le prochain numéro du magazine,

Vingt-neuf ans après les événements, Jean-Pierre Mura a été reconnu coupable du crime.
Le dimanche 21 novembre 2021, RMC Story diffusera un tout nouvel épisode de l’émission Faire entrer l’accusé qui n’a pas encore été publié. Cet épisode sera consacré au scandale Jean-Pierre Mura, qui a secoué la France entière dans les années 1990.

Le jeudi 18 juin 2015, au cours du procès de l’assassin, il a reconnu les faits concernant ces disparitions, survenues près de trente ans plus tôt. Ce dernier, âgé de 47 ans au moment du prononcé de la peine, a été reconnu coupable du meurtre de Christelle Maillery, l’une des “disparues de l’A6”, et a été condamné à vingt ans de réclusion criminelle par la cour d’assises de Saône. -et-Loire. Christelle Maillery a été tuée en 1986.

Pendant l’intégralité du procès, que Dominique Rizet et Rachid M’Barki raconteront sur RMC Story, l’accusé clamera son innocence des charges retenues contre lui. “Je n’ai tué personne. Ce n’est pas moi qui suis responsable de la mort de cette petite fille”, selon les propos de Jean-Pierre Mura relayés par Le Monde. Entre les années 1984 et 2005, douze jeunes femmes au total en Saône-et-Loire sont décédées ou ont disparu sans laisser de traces. Faire entrer l’accusé reviendra avec un nouvel épisode le dimanche 21 novembre 2021 à 21h05. sur RMC Story. L’épisode s’intitulera “Lame fatale : Jean-Pierre Mura”.

Christelle Maillery rentre de ses cours le 18 décembre 1986, à 11 heures, ce qui est un peu plus tôt que d’habitude du fait qu’elle n’est pas obligée de faire du sport 1. Elle décède le même jour dans la cave de un HLM dans le quartier Charmille du Creusot, à environ 200 mètres de son domicile. Elle avait trente-trois blessures par perforation dans son corps.

Affaire Jean Pierre Mura
Affaire Jean Pierre Mura

Des habitants du quartier font la découverte de son corps vers dix heures du matin. Un facteur affirme avoir vu un homme d’une vingtaine d’années qu’il décrit comme “plutôt fin, mi-long, cheveux assez clairs et peut-être même blonds, (…) un peu dans le style du chanteur Renaud”.

Il semble que la première blessure ait été

En plus de cela, les enquêteurs ont deux cartes postales qui prétendent qu’ils sont responsables du meurtre. En février 1987, à environ 150 mètres de la scène du crime, un couteau avec un cran d’arrêt a été trouvé. Parce qu’il était caché dans un buisson par un tas de neige, il n’avait pas été découvert jusqu’alors. Suite à cette longue période passée dans la neige, il n’a plus d’empreintes digitales ni de traces de sang sur lui. Les enquêteurs croisent les doigts pour que le couteau’s aiguisage distinctif leur fournira une avance dans le cas.

En 1990, les auditions de dizaines de personnes différentes n’ont mené nulle part. Depuis que le couteau a été trouvé en février 1987, il n’y a eu aucune nouvelle information ou développement. Ce mystère non résolu fait partie d’un plus grand corpus de travail qui est collectivement appelé les fichiers “Disappeared from the A6”. Une ordonnance de non-lieu est délivrée par le juge chargé de l’instruction. Le service des scellés du tribunal de grande instance de Chalon-sur-Saône est chargé de détruire les pièces à conviction, dont “les vêtements de la victime, ses bijoux, et le couteau retrouvé à 200 mètres du lieu du crime”, comme le rapporte Le Nouvel Observateur. Le couteau a été retrouvé à 200 mètres du lieu du crime.

Pour ressusciter l’affaire, il faut attendre 2003 et l’enquête qui a été menée par un détective privé travaillant pour l’Association d’aide aux familles victimes d’agressions criminelles, l’association Christelle [pas clair]. Ce détective privé a recueilli le témoignage de l’ancien petit ami de Maillery, Michel Bartolo.

Devant d’autres personnes, Jean-Pierre Mura a proposé de le dédommager de 2 000 francs suisses « en échange de son silence » 3 pour la mort de la jeune fille. Jean-Pierre Mura était responsable de la mort de la jeune fille. Le petit ami en question n’avait pas jugé nécessaire ou approprié de signaler cet aspect en tenant compte de l’étiqueter comme dépressif. En raison des expériences négatives qu’il a eues avec les enquêteurs de la police 3, il a décidé de se confier aux personnes qui enquêtent sur le témoin numéro 1 sur TF1.

En 2005, l’information judiciaire a été rouverte après avoir été close. Jean-Pierre Mura, âgé de 44 ans, a été placé en garde à vue par la police et interrogé. Un grand nombre de couteaux ont été découverts dans sa résidence. Les lames sont comparées à celles du couteau qui a été retrouvé sur les lieux du crime, qui a ensuite été détruit mais les enquêteurs l’ont photographié. “Les lames qui ont été confisquées et celle qui a été photographiée ont été affûtées à l’aide de la même meule et par la ou les mêmes personnes”, indique le communiqué.

Les « quatre points communs de marques d’affûtage » laissés par la meule sont à la base du savoir-faire. Ceci est similaire à la situation en balistique, où les experts comparent les marques laissées sur la balle par le canon d’une arme à feu. Le juge a pu mettre en examen le suspect pour homicide volontaire le 15 décembre 2011, après avoir examiné ces éléments et d’autres témoignages. Le suspect est actuellement détenu en détention provisoire à la maison d’arrêt située à Varennes-le-Grand (Saône-et-Loire).


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