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Affaire Jennifer mary

Affaire Jennifer mary; Jennifer Mary, 14 ans, a quitté le collège Pierre-de-Coubertin de Cormontreuil (Marne) à 15h30 le 20 mars 2001. Elle était alors élève de cinquième. Seules quelques centaines de mètres séparent son domicile du quartier Val-de-Murigny de la ville de Reims des transports en commun les plus proches. Alors qu’elle fait le ménage après sa fille, Corinne Coutin, qui vit seule avec ses quatre enfants, est horrifiée de découvrir le corps sans vie de sa fille alors qu’elle réaménage leur maison. Jennifer a été poignardée au visage, à l’épi et aux cuisses par son agresseur, selon la police.

Elle n’a subi aucune agression sexuelle et aucune preuve d’effraction n’a été découverte dans la maison. Une seule des armoires est en panne. L’arme utilisée dans le crime est découverte à l’intérieur du bâtiment par les enquêteurs. Les policiers concentrent immédiatement leurs investigations sur les amis proches de la famille, notamment les deux fils de la mère et les deux filles de leur mère. Franck Philippart, l’un des deux, est particulièrement affligé par son état.

Affaire Jennifer mary
Affaire Jennifer mary

Malgré le fait que le dossier soit faible, il est en cours d’instruction et sera rédigé du 19 février au 4 juillet 2002. L’appareil mobile perfectionné utilisé par les enquêteurs est compliqué. Corinne Coutin a peut-être eu l’intention de tout raconter à son mari après avoir été taquinée par ce dernier. Par la suite, Jennifer aurait été surprise que quelqu’un rentre chez elle alors qu’elle était en train de fouiller les placards de la maison à la recherche de papiers potentiellement incriminants.

Quand Jennifer Pan sortira-t-elle

« Il s’est concocté une vie qu’il aurait chérie s’il l’avait vécue. Nathalie, une collègue, décrit Philippe Duflos, 49 ans, comme ayant une personnalité incontrôlable, ce qu’elle juge exact. Philippe Duflos est un sociologue spécialisé dans les troubles de la personnalité. L’ancien gardien du stade de Creil semble avoir vécu une vie de scénarisation jusqu’à sa dernière punition. « Je me suis mis à rude épreuve dès le premier jour. Arrivé à la cour d’honneur le premier jour de classe, il s’est lancé dans les airs en disant : « a ne m’empêche pas de dormir ».

Tout au long du procès de trois jours de Jennifer Vimeux, le meurtrier présumé n’a montré aucun signe de relâchement. Pourquoi un homme qualifié de prosaïque par les psychologues frapperait-il et étranglerait-il sa petite amie, Jennifer Vimeux, qui a 22 ans, avec tant de férocité et de férocité ? un vrai cauchemar dans tous les sens du terme Pour Philippe Duflos, c’est l’aboutissement d’un rêve, l’aboutissement d’un rêve tant attendu devenu réalité. Jennifer, la petite soeur du gosse de Nicolas, est l’objet de ce fantasme.

Nicole a décidé de rompre sa relation avec Nicolas le 13 novembre 2008, pour le bien de tous. Elle retourne chez son père pour récupérer ses affaires, et elle le fait avec une certaine appréhension. Duflos lui avait déjà dit qu’elle était “son fantasme” quelques jours auparavant. Depuis, il “fait peur” en lui.

Nicolas n’est pas chez lui ce soir-là. La seule chose à laquelle Duflos peut penser, c’est elle, l’objet de son désir, et ils sont seuls dans la maison. » Jennifer avait décidé de mettre fin définitivement à sa relation avec Nicolas, selon Martèle Me Thavard, avocate aux affaires civiles. Il saisit cette seule et unique opportunité de réaliser son rêve de toujours de coucher avec elle. Cependant, il s’engage dans un cheminement phénoménologique. « Il va lui imposer une fellation, et Jennifer menacera de tout rendre public.

Affaire Jennifer mary
Affaire Jennifer mary

Isabelle Verissimo, la procureure générale, pousse la démonstration un peu plus loin en disant : « Elle sortait de la maison de Nicolas, et avec lui, de la maison de Philippe. » La curieuse relation père-fils a été décortiquée par les spécialistes. Philippe Duflos élève seul ce fils depuis qu’il est tout petit. « Duflos est un magicien qui travaille dans un miroir avec son gosse. » Il cherchait un sentiment d’appartenance à lui-même. » Le frère de Jennifer, Michel, résume bien : « Il a essayé de vivre la vie de son gosse. “C’était une noble tentative.” « C’était le genre de petite amie qu’on aurait aimé avoir, poursuit le président Damulot.

Un rapport est composé de reconstitutions, d’images d’archives et de témoignages de membres de la famille des victimes, de proches de criminels, d’avocats, de policiers et de membres des médias locaux. Jennifer Mary, 14 ans et élève de CM1 au collège Pierre-de-Coubertin de Cormontreuil (Marne), arrive à l’école à 15h30 le 20 mars 2001. Seules quelques centaines de mètres la séparent de son domicile dans le Quartier Val-de-Murigny de Reims, où elle vit avec sa famille. Corinne Coutin, la mère de la jeune fille, qui vit seule avec ses quatre enfants, rentre chez elle à 17h30 et découvre le corps de sa fille dans la maison.

Un agresseur a frappé Jennifer au visage, à l’entrejambe et aux jambes, la faisant saigner abondamment. Elle n’avait pas été agressée sexuellement et la maison n’avait été vandalisée d’aucune façon. Seull’une des pancartes est désorganisée. Les détectives sont capables de localiser l’arme du crime à l’intérieur du bâtiment. La police ouvre rapidement une enquête sur les amis proches de la famille, notamment les deux jeunes enfants qui sont les meilleurs amis de la mère. Franck Philippart, qui est un maître de la tromperie, se distingue particulièrement parmi eux. Malgré le fait que les preuves contre lui étaient faibles, cet individu a été reconnu coupable et condamné à une peine de prison du 19 février au 4 juillet 2002.

Jennifer Pan aujourd’hui

Depuis, Franck Philippart a bénéficié d’une expertise psychologique positive, dans laquelle il est décrit comme “un homme très attaché à sa femme et à ses propres enfants […] qui est exempt de perversion sexuelle…” Le manque des preuves matérielles a finalement conduit à l’émission d’une ordonnance de non-lieu en faveur de Franck Philippart par la chambre de l’éducation. Cette décision a été accueillie avec mécontentement par la famille de la jeune adolescente, notamment par sa mère, qui a exprimé son mécontentement dans la publication L’Union : « Après, c’est difficile de faire confiance à la justice. Pour ma part, j’ai été surprise de Je me retrouve à l’arrière du bus.

Malgré le fait qu’ils connaissent la vérité, certaines personnes gardent un silence assourdissant. J’ai cependant encore une chance d’éviter d’être emprisonné à leur place. J’ai mes convictions, mais rien va changer à cause d’elle. Je ne suis bon que quand je suis forcé d’étouffer et de souffrir. Sinon, je peux prendre les choses en main et demander l’aide de Jennifer.

Les détectives sont un peu ambigus dans leur explication du crime. Corinne Coutin avait prévu de raconter à sa femme tout ce qui s’était passé après qu’elle ait été abandonnée par sa meilleure amie. Jennifer avait alors pris quelqu’un au dépourvu alors qu’elle cherchait dans les classeurs de la maison les documents compromettants qui avaient été laissés sur le chemin du retour. Après avoir subi une évaluation psychologique favorable, Franck Philippart a été classé “mari très dévot et père de ses propres enfants […] à l’abri des perversions sexuelles…”.

Une décision définitive de non-lieu a été rendue en faveur de Franck Philippart par le tribunal d’instruction en raison d’une insuffisance des preuves présentées par le prévenu. La famille de la jeune adolescente, notamment sa mère, a exprimé son mécontentement face à cette décision, qu’elle a partagée avec le journal Union : “Après ça, c’est difficile de faire confiance à la justice.”

Moi aussi, je me suis retrouvé en détention après un malentendu. Malgré le fait que les choses se taisent encore, Mieux encore, j’ai eu la possibilité d’éviter d’être emprisonné à leur place. Mes convictions sont fortes, mais cela n’y changera rien. Je suis un naturel pour être cool et souffrir sous pression. Alternativement, vous pouvez me rendre service et m’aider à entrer en contact avec Jennifer.” En conséquence, sept ans après l’accident, le mystère reste non résolu.


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