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Affaire maxime roussel

Affaire maxime roussel; Le jeune homme, qui avait 17 ans au moment des faits, est plongé dans le coma depuis le début de son procès à huis clos devant le tribunal des assistants des mineurs de Besançon lundi matin.

Malgré le fait qu’il ait changé d’étage plusieurs fois au cours de la formation, il soutient qu’il y était le 10 janvier 2012, lorsque son ami a été brûlé par balle par deux autres hommes. Une hypothèse qui a été rejetée par les enquêteurs. (Se référer au Rappel des faits)

Affaire maxime roussel
Affaire maxime roussel

Lors d’une suspension des débats du tribunal jeudi, il a été ramené dans la salle d’audience sur la base de ses déclarations, qui comprenaient une explication selon laquelle il s’était rendu dans les bois d’Etouvans avec sa mère afin de rencontrer Maxime, selon les procureurs de la deux parties qui ont comparu devant le tribunal.

Cette nouvelle version précise qu’il s’est ensuite éloigné du jeune dans sa voiture avant de revenir 10 minutes plus tard pour lui remettre ses clés. C’est à ce moment qu’il a découvert le corps sans vie qui était sur le point d’être brûlé.

Un résumé de ce qui s’est passé dans l’épisode

Maxime, un jeune de 14 ans passionné de mécanique d’Étouvans dans le Doubs, a informé ses parents qu’il partait en moto pour retrouver son pote Jeffrey, un jeune de 17 ans, mais il n’est pas revenu ce soir-là. Son cadavre brûlé, qui a un grand nombre de blessures au couteau, sera découvert sur une route boisée le lendemain. Jeffrey est instantanément suspecté par les autorités. Quelques jours auparavant seulement, ce dernier avait effectué une série de recherches sur Internet pour tenter de comprendre comment exécuter le crime idéal.

Il avait chargé la moto de la victime dans sa voiture et était parti sans informer personne de ses intentions. Il y avait une moto qui avait été découverte dans les bureaux de l’entreprise.

Du fait de la préméditation de l’acte ou du fait que la victime était âgée de moins de 15 ans au moment de l’acte, l’accusé, âgé aujourd’hui de 19 ans, encourt une peine maximale de 20 ans de prison si la défense de minorité est retenue. , ou une peine d’emprisonnement à perpétuité si la défense n’est pas retenue.

Affaire maxime roussel
Affaire maxime roussel

Thérèse Brunisso, la procureure générale, a requis devant le tribunal d’assistance aux mineurs une peine de 30 ans d’emprisonnement avec possibilité de 20 ans de mise à l’épreuve.

Elle a demandé la levée de la justification de la minorité, arguant que l’accusé avait presque 18 ans au moment du crime, qu’il avait prémédité son acte, et qu’il avait fait preuve de “cynisme” après l’assassinat. Par conséquent, l’accusé, qui a maintenant 19 ans, risque une peine d’emprisonnement à perpétuité.

Au terme de cinq jours de témoignage à huis clos, il continue de nier avoir été l’auteur de tout crime commis sur sa propriété.

En plus d’avoir porté plainte contre deux autres individus, l’accusé a changé son récit des événements devant le tribunal, expliquant qu’il se rendait seul en voiture à une rencontre avec Maxime dans la forêt d’Etouvans.

Conformément à ses déclarations, il avait alors quitté la salle avant de revenir 10 minutes plus tard pour l’informer d’un jeu clé, pour découvrir le corps de son ami sur le point d’être brûlé. Plus tard, il a avoué avoir mis la moto de l’adolescent dans sa voiture et ensuite repartir sans dire à personne où il allait.

Le corps de Maxime Roussel, un adolescent sans antécédent mais passionné par la mécanique, a été découvert le 11 janvier 2012 sur une route forestière à Etouvans (Doubs), petit village du Montbéliard où il résidait. Il avait disparu la nuit précédente.

Selon l’autopsie, il avait reçu un total de vingt et une flèches incandescentes à la tête, sept étant mortelles et deux mortelles à l’artère carotide. Après cela, son corps a été privé d’oxygène et embrassé, les parties inférieures de son corps étant particulièrement gravement brûlées (à 95%).

Le suspect, un garçon de 17 ans au moment des faits, sera tenu de répondre à l’accusation de meurtre avec préméditation. Le jeune homme, atteint d’un grave mutisme, reconnaît sa présence sur les lieux du crime le soir du 10 janvier 2012 dans les bois d’Etouvans, mais accuse deux individus non identifiés. Maxime Roussel avait été poignardé à mort avant que son corps ne soit en partie consumé par le liquide inflammable qu’il respirait. C’est la moto de Maxime qui avait emmené les enquêteurs chez le suspect. La moto, qui pourrait aussi être considérée comme le mobile.

Saison 1 – Episode 6 / 6 – Adolescents et criminels 

Ce procès débutera lundi, après une longue enquête. Un groupe de sept gendarmes travaille en permanence depuis de nombreux mois afin d’inspecter minutieusement l’ensemble des pistes. En fin de compte, le tribunal a confirmé la préméditation, mais a rejeté les allégations de complicité formulées par l’accusateur. C’est ce que son avocat, maître Euvrard, conteste vigoureusement. “Mon client allait acheter une moto, et c’est une légende urbaine de dire que le la moto est le mobile », dit-il à propos du smartphone. Il convient également de noter que l’arme de prédilection pour le crime, un couteau, n’a jamais été retrouvée.

Une nouvelle phase s’ouvre pour la famille Maxime, à savoir le processus judiciaire lui-même. Isabelle Roussel, la mère d’Isabelle Roussel, a décidé de poursuivre son soutien de longue date à France Bleu Belfort Montbéliard. Ses questions sont les suivantes : “Je veux comprendre pourquoi il y a eu une telle rupture dans le cycle de la violence.” Il avait 14 ans à l’époque. «

Il n’est pas acceptable de brûler quelqu’un pour une moto ». Et elle poursuit en disant : “La punition qu’il recevra ne sera jamais égale à celle qu’il a reçue.” Aucun pardon ne sera accordé. Ce n’est tout simplement pas faisable. « Notre vie n’est plus une vie ; c’est une question de survie »

Dans un effort pour laver son nom, l’assassin présumé de Maxime Roussel, retrouvé mort et carbonisé dans une forêt près d’Etouvans (Doubs) en janvier 2012, est sorti de son mutisme pour comparaître devant le tribunal des assistants des mines pour livrer un nouvelle version de l’histoire tout en continuant à nier la responsabilité du crime.

Il est resté silencieux depuis le début de son procès à huis clos devant le tribunal des assistants des mineurs de Besançon lundi. Le jeune homme, âgé de 17 ans au moment des faits, était porté disparu depuis plusieurs jours.

Au cours de l’enseignement, il raconte avoir vu deux hommes assassiner et brûler son ami le 10 janvier 2012. Une hypothèse qui a été rejetée par les enquêteurs.

Il a comparu mercredi devant le tribunal où il a été réinterrogé à la lumière de ses déclarations précédentes, dans lesquelles il expliquait qu’il n’avait pas participé au crime, mais qu’il s’était rendu dans les bois d’Etouvans avec sa mère afin de rencontrer Maxime, selon les avocats des deux parties lors d’une suspension d’audience.

Cette nouvelle version précise qu’il s’est ensuite éloigné du jeune dans sa voiture avant de revenir 10 minutes plus tard pour lui remettre ses clés. C’est à ce moment qu’il a découvert le corps sans vie qui était sur le point d’être brûlé.

Il avait chargé la moto de la victime dans sa voiture et était parti sans informer personne de ses intentions. La moto avait été découverte dans les bureaux de la société de pompes funèbres fondée par son grand-père.

«Il est peu probable que Maxime ait été tué et brûlé en dix minutes, étant donné que la crémation n’a duré que 30 minutes, selon les experts», a déclaré Me Philippe Simoneau, avocat de la famille Roussel, pointant les «incohérences» de l’accusé. .


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